Prendre en compte les années de formation et d’insertion dans les trimestres validés

Alors que le gouvernement prévoit l’augmentation de la durée de cotisation, la formation devient une bombe à retardement qui pénalise celles et ceux qui font des études et entrent plus tard sur le marché du travail, et particulièrement les femmes qui sont majoritaires parmi les diplômé-e-s du supérieur [1].

Nous demandons la prise en compte des années de formation et d’insertion dans la durée d’assurance validée.

Cette validation aurait un impact positif à la fois sur le taux de liquidation (réduction de la décote) et sur la proportion trimestres validés / trimestres requis.

Retrouvez également l’appel du collectif « La retraite, une affaire de jeunes » dont fait partie Osez le féminisme !


[1]     La moitié des femmes de la génération qui a actuellement 25-29 ans est titulaire d’un diplôme universitaire contre 37 % pour les hommes.